Ce samedi 20 novembre est une journée de mobilisation nationale contre les violences sexistes et sexuelles (VSS).
Il y a quelques jours, 285 femmes du milieu politique et universitaire signaient une tribune pour écarter les auteurs de violences sexuelles et sexistes de la vie politique.
Nous, femmes travaillant dans le milieu politique, élues, collaboratrices, fonctionnaires, responsables associatives, militantes qui côtoyons régulièrement les hommes politiques, mais avant tout citoyennes, appelons le monde politique à une réponse d’ampleur aux violences sexuelles et sexistes commises par nos représentants.
Tribune « Nous exigeons que le monde politique prenne enfin en compte le mouvement #metoo »
Ces femmes appellent les partis politiques à ne pas investir de candidat mis en cause pour des violences sexistes et sexuelles, à ne pas donner de parrainage à une personne mise en cause pour des violences sexistes et sexuelles, ainsi qu’à ne pas embaucher de personne mise en cause pour des violences sexistes et sexuelles.
Trois candidats ou potentiellement candidats à l’Élysée sont déjà cités dans de nombreux témoignages d’agressions sexuelles. Les agresseurs sexuels n’ont pas leur place aux élections présidentielles.
Le 25 novembre marque la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. A Brest, place de la Liberté, aura lieu à 18h une manifestation aux flambeaux en non-mixité.
Dans le cadre de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, plusieurs événements sont organisés par la Ville et la Métropole de Brest (conférence, quizz de sensibilisation, cours de self-defense…). Pour consulter les événements organisés, cliquez ici.
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